NOTE D'INTENTION DE LA réalisatrice

La dysmorphie corporelle touche au moins 2 % de la population au Royaume-Uni. C'est un problème universel, sans GENRE et sans âge. 
J'ai passé des mois à interviewer des hommes et des femmes, de 18 à 60 ans, souffrant d'un trouble du comportement alimentaire et/ou d'une dysmorphie corporelle. La plupart d'entre eux AURAIENT prefere METTRE plus tôt UN NOM SUR LEURS MAUX.
A travers "Ephemeral" mon but est de sensibiliser le public, en montrant jusqu'où peut aller LA conscience D'UNE PERSONNE, mais aussi sur ce que la société inflige aux femmes et aux hommes : à quoi nous devrions ressembler, ce qui est sain ou nOn, LE tout à travers dES objectifs irréalistes.
Je veux dépeindre la dysmorphie corporelle et la boulimie hyperphagique, car cette dernière est le trouble de l'alimentation le moins VU à l'écran.
"Ephemeral" explore la boulimie hyperphagique sans la glorifier, COMME CELA A SI SOUVENT ETE FAIT DANS LES FILMS. 
A travers cette histoire, je voudrais exprimer à quel point il est difficile de faire face à la dysmorphie corporelle, pour la personne qui en souffre, mais aussi pour son entourage.
Je veux que le public regarde le film et pense "oui, c'est ça, c'est exactement ce que je ressens DANS cette situation". 
"Ephemeral" peut commence comme un court métrage, mais a le potentiel de se développer en une histoire plus grande que j'aimerais raconter, dans le but d'aider les gens à se sentir moins seuls face à leurs problèmes.